À la toute fin du récit écrit par Florence Seyvos, un enfant va naître. Le dernier mot du livre est aussi le vœu de la mère : que cet enfant soit incassable.
Elle-même est une inquiète, une craintive perpétuelle qui ose à peine traverser la rue pour s’acheter une cannette. Elle voudrait donc un fils incassable, comme l’étaient, à leur manière, Henri, son demi-frère, et Buster Keaton, le cinéaste et acteur, dont la légende voulait qu’il ne sourie jamais.
Le Garçon incassable est l’histoire parallèle de ces deux hommes.